Pas un match sans polémique ou arguments pour expliquer que la défaite n’est pas logique. Pour cela, 2 exemples récents :
Toulouse Brest 2-4 et pourtant l’analyse des data est inexorable, car au regard des statistiques, la défaite est injuste.
Toulouse a la possession du ballon contre Brest : 53 % contre 47 %. Le nombre de passes est supérieur dans la moitié adverse du terrain : 168 passes contre 79. Toulouse touche plus de ballons dans la surface adverse : 41 touches contre 16. Toulouse a centré trois fois plus que son adversaire, affiche un taux de passes réussies plus supérieur et plus de frappes au but (17 contre 10), de plus, un penalty pour Toulouse a été oublié.
Dunkerque Paris SG 2-4, mais l’égalisation fait polémique puisque Marquinhos a égalisé sur un corner… qui n’aurait jamais dû être sifflé, puisque le capitaine parisien est, selon les images, le dernier joueur à avoir touché le ballon sur l’action précédente.
Ainsi, sur chaque match désormais, chaque club semble avoir de quoi contester sa défaite. Est-ce l’effet loupe des réseaux sociaux, des divers sites cherchant le « clic », des émissions de radio ou télé… Toujours est-il que la frustration des supporters ne permet pas de retomber après quelques heures.
C’était mieux avant ? Pour faire retomber la tension auprès des supporters, c’est un oui, sans aucun doute.