Une vraie gestion présidentielle

Lors de la trêve 1971-1972, Metz se trouve en mauvaise position au championnat.

Malgré le soutien de tous, on voit par exemple régulièrement dans les tribunes son ancien joueur Johnny Léonard, le club traverse des difficultés. Le président Carlo Molinari réagit certes en remplaçant son entraineur Jacques Favre en donnant sa chance à son défenseur Georges Zvunka, mais il ne se dédouane pas de ses responsabilités, mais surtout ne rejette pas la faute uniquement sur son entraineur.

Outre ce changement habituel, en pareil cas, il déclare « j’étais trop loin de l’équipe, des joueurs ». Ainsi, il reprend ses anciennes habitudes de faire une visite à l’issue de chaque entrainement pour affirmer son implication.

De même joue-t-il avec les ressorts psychologiques en chouchoutant ces joueurs par d’anecdotiques petits gestes tels qu’entre autres, une dotation de sorties de bains nominatives, mais aussi en les mettant devant leurs responsabilités en leur faisant savoir qu’en cas de relégation personne ne serait transféré.

Une façon de faire qui portera ses fruits puisque Metz terminera la saison à la quatorzième place

A propos de H. V.

En tant qu'auteur spécialisé, je décrypte tactiques, performances et moments forts, j'offre aux lecteurs une immersion approfondie dans l'univers fascinant du football. Préparez-vous à explorer le sport sous un nouvel angle à travers mes articles.

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