Il y a eu les Djorkaeff, Jean puis Youri qui jouèrent en division 1 et qui y ont laissé leurs traces.
Il y eut aussi les Yakovenko, Pavlo et Yuriy qui eux n’ont eu aucun impact sur la division 1. Si certains d’entre vous se souviennent du Père Pavlo c’est plus par l’espoir qu’il a suscité en arrivant à Sochaux que par ces performances.
International soviétique, issu du Dinamo Kiev des années 90 et du palmarès qui va avec (vainqueur de la coupe des coupes, de la supercoupe de l’UEFA, 3 titres de champion et de 3 coupes d’URSS), son arrivée à Sochaux était un évènement. Malheureusement, son passage fut un échec puisqu’il ne joua, en division 1, que 6 matchs dont 3 comme titulaire et 2 en totalité pour 1 but, 2 cartons jaunes et un bilan d’une victoire, 1 nul et quatre défaites. Alors même si son but offrit la victoire à Sochaux face à Metz, marquant à la 82ᵉ minute alors qu’il était entré la minute précédente, ce fait d’arme ne suffit pas à faire de son passage dans le Doubs une réussite.
Yuriy, lui, est né à Montbeliard lors du passage de son père dans le Doubs. S’il jouait en France, ce n’est pas à Sochaux, mais à L’AC Ajaccio. Formé en Ukraine, il côtoya toutes les sélections de jeunes et arriva en Corse avec le statut d’international espoir. Il ne parvint pas à s’imposer et eut un bilan encore plus catastrophique que son père puisqu’il n’est apparu que 4 fois sur le banc de l’équipe première pour 2 entrées et 8 minutes de jeu dans 2 défaites ajacciennes.
Dès la saison suivante, il part à Chypre, puis au Danemark pour jouer à l’heure actuelle en Norvège.